Que le temps passe vite! me revoilà avec deux chroniques du festival de Cannes, un blockbuster et un OFNI!
Deux films de la sélection officielle sont sortis en salle durant le festival. L’un est reparti bredouille ‘The Homesman’ malgré des qualités évidentes. Voici ma critique
L’autre, le Cronenberg, avec le prix d’interprétation féminine. J’aime le « nouveau » Cronenberg que beaucoup décrient. Parce que son cinéma est plus propre, plus net, esthétiquement tranchant, et toujours beaucoup de choses à raconter, quoi qu’on en dise. Belle récompense pour Julianne Moore! Lire Maps to the stars
Passons maintenant à un blockbuster, Godzilla. Je suis toujours terriblement ennuyée quand je dois parler de film ‘grands publics’, je les aime rarement. Mais je dois essayer de juger le film pour ce qu’il est, avec ses codes. J’ai donc pensé que Godzilla répondait aux critères du « genre » et plairait au gens qui aiment le cinéma « divertissant ». Apparemment certains fans de montres et autres catastrophes l’ont trouvé aussi « creux » que moi, donc ma critique est sûrement surévaluée. Bref le mieux est que je m’abstienne de commenter ce que je n’aime pas.
Je fais donc l’impasse volontaire et jouissive sur X-men et autres singes, et j’en passe.
Passons maintenant à un véritable objet digne d’intérêt, un film inclassable et fascinant dont tout le monde a beaucoup parlé. Le voir avec du recul n’est pas déplaisant pour l’apprécier à sa juste valeur. Plus les jours passent et plus il me laisse une sensation mystérieuse et vraiment plaisante. Des films tels que celui-ci sont de véritables expériences et c’est cette introspection que je recherche dans le cinéma. Je vous invite donc à aller voir Under the Skin, lire ma critique et venir partager tout cela avec moi.
Je partage un dernier lien, la chronique par mon confrère dino @gibet. Le conte de la Princesse Kaguya de Takahata
Betty Elms' Cinemabook 
Surprenant Under the skin. 🙂